Stop grillé, permis annulé : l’erreur à ne pas faire !
Stop grillé, permis annulé, alors que tout aurait pu être évité ! Voici comment un client qui a voulu économiser des frais d’avocat a payé bien plus cher au final ! Ne faites pas la même erreur !
Un stop grillé, un permis annulé…
Monsieur X reçoit une amende pour un stop grillé. Comme beaucoup de conducteurs, il ne conteste pas, paye rapidement l’amende pour « en finir ».
Mais voilà, ce n’était pas lui au volant : c’était son fils. Or, quelques semaines plus tard, la sanction tombe. Monsieur X reçoit une lettre 48SI l’informant du retrait de 4 points et de l’invalidation de son permis pour solde nul. En effet avant de payer l’amende il ne lui restait que 4 points sur son permis de conduire.
Pris de panique, il décide alors de contester tout seul la 48SI devant le tribunal administratif, sûr de son bon droit.
Sa ligne de défense ? « Ce n’était pas moi au volant, c’était mon fils. »
Résultat : rejet de sa demande. Pourquoi ? Parce que le tribunal administratif a rappelé, à juste titre, que l’imputation des points relève de la compétence de l’officier du ministère public. Monsieur X a donc perdu son permis, sans avoir exploré les vrais arguments qui auraient pu le sauver.
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Un argument imparable… qui n’a pas été utilisé !
Lorsqu’il vient me voir, désespéré, Monsieur X me montre le jugement du tribunal administratif. Le problème ? Tout était déjà plié.
Le plus rageant dans cette histoire ? Il existait un argument imparable pour contester le retrait de points et faire annuler la 48SI :
- L’infraction a été commise au volant d’une voiturette, un véhicule sans permis.
- Or, les textes sont très clairs : aucun point ne peut être retiré lorsque l’infraction est commise au volant d’un véhicule sans permis (voiturette, scooter de moins de 50cm3, vélo, trottinette électrique, …) !
Si Monsieur X m’avait consulté dès la réception de la lettre 48SI, je lui aurais sauvé son permis à 100 % !
Sans compter qu’il aurait pu faire un stage de récupération de points…
Les conséquences d’une (très) mauvaise décision
En voulant économiser les frais d’avocat, Monsieur X a perdu beaucoup plus :
- Permis invalidé : il doit le repasser, avec toutes les contraintes que cela implique
- Augmentation des primes d’assurance : il doit signaler à son assureur la perte de son permis, ce qui alourdit considérablement ses cotisations
- Stress et perte de temps : le recours infructueux et les démarches administratives ont ajouté du stress à une situation déjà compliquée
Pourquoi faire appel à un avocat dès le départ ?
- Maîtrise du droit routier : un avocat connaît toutes les subtilités de la loi. Ce que vous ignorez peut changer l’issue de votre dossier
- Une stratégie adaptée : chaque dossier est unique. Je mets en place des arguments juridiques solides pour protéger vos droits
- Préserver votre permis : un avocat compétent peut éviter la catastrophe : perte de points, suspension ou invalidation du permis
Conclusion : Ne jouez pas avec votre permis de conduire !
Monsieur X pensait économiser en ne consultant pas un avocat. Au final, il a tout perdu. ✖️
Votre permis est trop précieux pour prendre des risques. Dès la moindre contravention ou lettre 48SI, contactez un avocat en droit routier.
✅ **Vous avez reçu une lettre 48SI ? Vous contestez une infraction ? Contactez-moi sans tarder pour éviter le pire.
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